L'étudiant fessé chez l'habitant

Catégories : Hommes fessés
il y a 5 ans

J'avais mon bac !... Avec mention... Et, pour mes parents, c'était une véritable catastrophe... - Tu l'imagines lâché tout seul là-haut ?... Là-haut c'était Paris... Je voulais faire Langues O... - Avec tout ce qui se passe !... Leur imagination s'affolait : j'allais passer sous un metro... me faire égorger dans une impasse... tomber sous la coupe d'une bande de malfrats qui me contraindrait aux pires ignominies... Je voulais vraiment pas faire autre chose ?... Il y avait pas que les Langues O... Non... Non... C'était les Langues O ou rien...

C'est oncle Serge qui a trouvé la solution... - Et si vous lui preniez une chambre chez l'habitant ?... Quelqu'un de sérieux... Vous pourriez garder un œil sur ce qui se passe... Ils ont trouvé l'idée excellente... Ils ont prospecté... Ecrit... Téléphoné... Ils se sont déplacés jusque là-bas et ils sont revenus enchantés... Ils avaient trouvé la perle rare, une veuve, qui vivait seule avec sa grande fille de 23 ans et qui s'était engagée à veiller sur moi comme sur la prunelle de ses yeux...

J'ai accepté tout ce qu'on voulait... L'essentiel c'était qu'on me laisse partir... Je comptais bien, une fois là-haut, profiter pleinement de ma belle liberté toute neuve... Quant à la veuve... Ce n'était pas vraiment un problème la veuve... J'étais majeur, depuis peu, mais j'étais majeur... Alors la veuve !...

C'était une femme d'une cinquantaine d'années qui, d'entrée de jeu, m'a mis les points sur les i... Mes études coûtaient cher et on tenait légitimement à ce que je m'y consacre... Elle avait des consignes : à l'exception du samedi pas question de me laisser sortir le soir... J'étais, paraît-il, extrêmement influençable : elle surveillerait donc mes fréquentations... Elle allait – c'était convenu – rester en étroit contact avec mes parents et les tenir scrupuleusement au courant de la façon dont je me comportais... A moi de me montrer digne de la confiance qu'on me témoignait... Maeva, sa fille, qui assistait à la scène, riait sous cape...

Le plus judicieux, dans un premier temps, c'était, à l'évidence, d'adopter un profil bas et de me fondre dans le moule de ce qu'on attendait de moi... Avec le temps on se rassurerait et l'étau finirait tout naturellement par se desserrer... Je me suis donc appliqué à paraître aussi studieux que possible : les cours aussitôt terminés je rentrais m'enfermer dans ma chambre pour de longues heures que je prétendais laborieuses... Puisque j'y étais autorisé je sortais le samedi, mais je prenais soin de toujours rentrer raisonnablement tôt... On n'avait rien à me reprocher... Absolument rien... Et on se félicitait ouvertement d'avoir consenti à me laisser monter poursuivre mes études à Paris...

C'est arrivé un samedi début novembre... J'avais sympathisé avec un groupe de jeunes qui fêtait un anniversaire en boîte... L'alcool coulait à flots... Je n'avais pas l'habitude... J'ai rapidement perdu la notion de ce qui se passait autour de moi... J'ai vaguement eu conscience qu'on me montait dans une voiture... Qu'on m'en descendait... Qu'on me portait... Des voix... A travers un épais brouillard celle de la veuve... - C'est pas possible !... Non, mais c'est pas possible !... Dans quel état il est !... Mais c'est qu'il s'est vomi dessus en plus !... Et pas qu'un peu... C'est une véritable infection... On m'a déposé dans la cuisine... On s'est éloigné... Encore des voix... La porte... Elle est revenue... Seule... - Enlève-moi tout ça !... Plein de bonne volonté j'ai entrepris de me déshabiller... Sans y parvenir malgré tous mes efforts... Elle a pris les choses en mains, m'a sèchement dépiauté de mes vêtements... Tous... Et m'a soutenu jusqu'à mon lit... Dormir !... Oh oui, oui, dormir !... Je m'y suis affalé de tout mon long... C'est aussitôt tombé... Une claque... A pleines fesses... Une autre... Sèche... Cuisante... Encore une autre... Je n'avais pas la f o r c e de réagir... De tenter d'échapper... Une grêle de claques... Sans un mot... Une fessée...

Une vraie fessée... Comme à un gamin de huit ans... J'ai gémi... J'ai crié... Quand ça s'est arrêté je me suis endormi...

Au réveil elles étaient dans la cuisine... Toutes les deux... La mère et la fille... - Ah, tu peux être fier de toi !... Ah, ils vont être contents tes parents !... Tu sais ce que tu mériterais ?... C'est qu'ils te rapatrient illico... C'est probablement ce qu'ils vont faire d'ailleurs !...

  • Vous leur avez dit ?...

  • Pas encore, non !... Mais tu perds rien pour attendre...

J'ai supplié...

  • Leur dites pas !... Je ne recommencerai pas... Je vous promets...

Elle a finalement consenti, après un long combat d'arrache-pied, à passer l'éponge... - Pour cette fois... Uniquement pour cette fois... Et à la condition que tu te montres désormais absolument irréprochable... Dans tous les domaines...

Il n'était évidemment plus question de sortir le samedi... C'est totalement exclu... J'étais placé sous haute surveillance... - Parce que je ne me contente pas de belles paroles... Je veux des preuves... Elle a affiché mes horaires sur le tableau dans la cuisine... Elle entrebâillait régulièrement la porte de ma chambre pour voir à quoi j'étais occupé...

  • Tu travailles au moins ?... Tu fais pas semblant ?...

Elle passait le plus clair des repas à m'interroger sur ma journée... J'avais eu quoi comme cours ?... J'avais fait quoi après ?... J'étais allé où ?... J'avais vu qui ?...

  • Et ne t'avise pas de me raconter des histoires... Parce que je le saurais... Et alors là !...

La situation amusait follement Maeva... Qui ne manquait pas d'enfoncer ironiquement et cruellement le clou...

  • Alors ?!... Il a été sage le grand garçon ?... Il a bien fait ses devoirs ?... Oui ?... C'est bien... C'est très bien... Il faut... Sinon maman serait obligée de lui mettre encore la fessée... Et elle s'enfuyait en éclatant de rire...

Maeva était fort à mon goût et je m'étais, tout au début, bercé de l'illusion que, malgré notre différence d'âge, elle pourrait peut-être me trouver au sien... J'avais vite déchanté... Il était clair que je ne l'intéressais pas le moins du monde... Que je ne l'intéresserais jamais... Et j'en étais réduit à m'enivrer éperdument d'elle dans la salle de bains... Je séjournais voluptueusement dans la baignoire qu'elle venait d'occuper... Je respirais avidement ses gels de douche, ses crèmes de beauté, ses parfums... Je restais de longues minutes la tête enfouie dans sa serviette de bains...

  • Je rentrerai vers sept heures... Elle m'a menacé du doigt...

  • Mais t'en profites pas, hein ?!... Tu travailles !...

Maeva, elle, de son côté, n'était jamais là avant six heures... L'occasion était trop belle, la tentation trop forte... Le cœur battant, j'ai poussé la porte de sa chambre... Immobile sur le seuil, je me la suis d'abord longuement appropriée du regard... C'était son univers... Son antre... Je m'y suis aventuré... J'ai soulevé des bibelots, entrouvert des tiroirs... J'ai décroché, une à une, les robes de la penderie... J'ai voluptueusement humé l'entrejambes d'un pantalon abandonné sur une chaise... J'ai plongé les mains dans son tiroir à culottes... Je les ai fait couler entre mes doigts en doux flot vaporeux... Le lit était resté ouvert... Je les y ai transportées... Je me suis déshabillé... Je m'y suis allongé... Ivre d'elle, je me suis élancé vers mon plaisir...

Un pas précipité dans le couloir... La porte s'est brusquement ouverte... D'instinct je me suis retourné sur le ventre...

  • Qu'est-ce que tu fais là, toi ?... Oh non, mais c'est pas vrai !... Non !... Non, mais alors là, cette fois, c'est la meilleure !... Venir faire tes cochonneries dans la chambre de ma fille !... Et le nez dans ses petites culottes en plus!... Tu n'as pas honte ?... Mais je vais t'en faire passer l'envie, moi, mon garçon !... Je t'assure que je vais t'en faire passer l'envie !...

Un genou qui s'écrase, d'autorité, au creux de mes reins... Et une main qui tombe, lancée à pleine volée, régulière comme un battoir... Qui s'abat de plus en plus fort... De plus en plus vite... Je me suis tortillé sous les coups... J'ai hurlé... J'ai supplié... Elle n'a pas eu de pitié... Quand ça a enfin fini par s'arrêter elle a ordonné...

  • Fous le camp !... Sors de cette pièce... Et n'y remets jamais plus les pieds... Jamais... Tu m'entends ?... C'est compris ?...

Je n'ai pas demandé mon reste... J'ai regagné ma chambre où je me suis prestement remis au travail...

Il y a eu leurs voix dans la cuisine. Et le rire de Maeva. Longtemps... Elles sont montées, sont passées devant ma porte... Au moment d'ouvrir la sienne Maeva a regretté...

  • T'aurais dû m'attendre !... J'aurais trop voulu voir ça...

  • La prochaine fois !... Il y aura d'autres occasions...

  • Assieds-toi !... Il faut qu'on parle tous les deux... J'ai pris place sur le petit fauteuil en face d'elle... Parce que je suppose que ce n'est pas la première fois que tu t'aventures dans la chambre de ma fille ?!... Ah si, si !... - Ne mens pas, s'il te plaît !... N'aggrave pas ton cas !... Et je suppose aussi que l'activité à laquelle tu étais en train de t'y livrer est une activité à laquelle tu consacres, que ce soit dans sa chambre ou ailleurs, beaucoup de ton temps et de ton énergie... La tête basse, les yeux baissés, je n'ai pas répondu... Au détriment de tes études évidemment... Parce qu'on ne peut pas dire que les résultats que tu as obtenus depuis le début de l'année soient à la hauteur des espérances que tes parents ont placées en toi... C'est une situation à laquelle il va falloir remédier... Et rapidement... Viens avec moi !...

Elle m'a emmené dans ma chambre, s'est confortablement installée devant mon ordinateur... - Dis-moi où c'est... Ca m'évitera de chercher... - Quoi donc ?... - Fais bien l'imbécile en plus !... Ah, voilà... J'y suis... Tu peux disposer... Tu as cours n'importe comment... On reparlera de tout ça ce soir...

  • Déculotte-toi !...

On finissait de dîner... Le visage dur, fermé, elle ne m'avait pas adressé une seule fois la parole de tout le repas. Elle n'avait parlé qu'avec Maeva qui me lançait, de temps à autre, de petits coups d'œil ironiques...

  • Eh bien !?... Tu comprends ce que je te dis ?... Déculotte-toi !... A moins que tu ne préfères que je mette tes parents au courant... Que je ne leur envoie une copie de toutes les horreurs que j'ai trouvées sur ton ordinateur... Ils vont être édifiés... Non ?... Eh bien alors !... Je n'avais pas le choix. La m o r t dans l'âme j'ai obtempéré... En tournant le dos à Maeva... - Dépêche-toi !... J'attends...

Maeva à qui j'ai pourtant bien dû faire face pour aller me coucher en travers des genoux de sa mère... Maeva devant qui je me suis donné le ridicule de passer en ramenant pudiquement les deux mains sur mon bas-ventre, ce qui l'a, à l'évidence, beaucoup amusée... Sa mère ne m'a pas ménagé... J'ai serré les dents... J'ai serré les genoux... Mais la durée de la correction, son intensité ont eu raison de mes bonnes résolutions : je n'ai pas pu m'empêcher de crier, de me disloquer en tous sens, jambes battantes, fesses ouvertes, offrant un spectacle dont l'idée que Maeva devait bien évidemment le contempler en arborant son insupportable petit sourire supérieur me remplissait d'une honte impuissante...

Elle ne m'a pas laissé retomber. Elle m'a gardé en travers de ses genoux, une main négligemment posée sur mes fesses brûlantes...

  • Bien... Alors soyons clairs... J'ai bien évidemment fait le tri dans ton ordinateur... J'en ai retiré tout ce qui n'avait pas à s'y trouver et j'ai mis en service le filtre parental... Quant au monceau de revues que tu dissimulais dans le bas de ton placard elles sont en lieu sûr... Il n'est pas question que je te laisse te vautrer plus longtemps avec complaisance dans un climat malsain qui t'est extrêmement préjudiciable... Non pas que je t'interdise formellement de te laisser aller, de temps à autre, à t'offrir manuellement quelque petit plaisir... Mais pas à n'importe quel prix... Pas en te laissant te repaître de n'importe quoi... Et à condition que ça ne devienne pas une obsession... Que ça ne t'empêche pas de te consacrer à tes études... Comme c'est malheureusement le cas – tu ne diras pas le contraire – depuis plusieurs mois... En conséquence tu vas me faire le plaisir de laisser désormais la porte de ta chambre ouverte. De nuit comme de jour. Que je puisse vérifier à tout moment à quoi tu es occupé... Celle de la salle de bains aussi... Et ne t'avise surtout pas de désobéir... C'est bien compris ?... - Oui... C'était compris, oui... Tu peux filer... Retourne travailler...

Maeva m'a suivi, d'un regard ironique et insistant, jusqu'à ce que j'aie disparu...

J'étais désormais sous haute surveillance... A tout moment je devais m'attendre à la voir surgir. Et elle surgissait souvent. De façon parfaitement imprévisible. Il s'écoulait parfois cinq ou six heures d'affilée sans que je l'aperçoive, mais elle pouvait tout aussi bien faire trois ou quatre fois son apparition en l'espace d'un quart d'heure. J'étais constamment sous la menace de sa « visite », une visite dont je ne savais jamais vraiment comment elle allait exactement la conduire.

Le plus souvent elle se contentait de venir jeter un œil sur l'écran, un autre sur mon entrejambes et repartait sans un mot. Mais il lui arrivait aussi de procéder, devant moi, à un examen minutieux de mon ordinateur, de visiter mes placards, d'ouvrir mes tiroirs ou d'aller vérifier si ne se trouvaient pas sous mon matelas des revues qu'elle m'avait interdites.

La nuit aussi. Sept ou huit fois par nuit. Armée de sa lampe de poche elle s'avançait jusqu'à mon lit, soulevait les couvertures, les laissait retomber et se fondait dans l'obscurité. Et dans la salle de bains. Dans la salle de bains surtout. Elle ne m'y laissait jamais vraiment seul, persuadée sans doute que c'était là que prenaient corps les tentations les plus fortes...

Elle ne m'avait pas formellement interdit de me donner du plaisir...Non... Pourvu que ça reste dans des limites raisonnables... Oui, mais c'était quoi des limites raisonnables ?... - Deux fois par semaine... Disons le jeudi et le dimanche soir... Entre six et sept tu pourras fermer la porte si tu veux...

Je la fermais. Et je n'en profitais pas. Ou rarement. Parce que faire ça comme ça sur commande !... Avec elles de l'autre côté qui savaient ce à quoi j'étais supposé être occupé. Dont il me fallait affronter ensuite, à table, les regards pleins de sous-entendus. Non. Je préférais encore prendre des risques. Faufiler mon plaisir, la nuit, entre ses fréquentes visites.

Elle le savait. Elle feignait de réintégrer sa chambre et restait silencieusement embusquée dans le couloir à l'affût du moindre indice qui lui aurait permis de me prendre sur le fait. Mais ma patience finissait toujours par avoir raison de la sienne. C'était devenu comme un défi implicite entre nous et je ne me libérais que lorsque j'avais la certitude absolue qu'elle avait renoncé, que le sommeil l'avait enfin terrassée... Je ne me berçais pourtant pas d'illusions... Je ne perdais rien pour attendre : un jour ou l'autre f o r c é ment...

Maeva fréquentait, depuis quelques semaines, un étudiant en médecine qui restait quelquefois dîner le soir, mais dont sa mère ne voulait pas qu'il passe la nuit à la maison...

  • On verra ça plus tard... si ça a l'air de vouloir durer... si ça devient sérieux...

Début mars elle a dû estimer que ça l'était devenu parce qu'elle a donné son feu vert un soir qu'il venait tout juste de prendre congé... - La prochaine fois il pourra rester dormir si il veut... Maeva ne se l'est pas fait répéter deux fois... Dès le lendemain elle profitait de l'aubaine. Ce fut ma perte. Ma perte et ma défaite...

Ma chambre jouxtait la sienne. Nos deux lits se trouvaient tête à tête de chaque côté de la cloison. A peine étaient-ils couchés tous les deux que son souffle s'est fait court. Elle a haleté. Doucement gémi. C'est devenu plainte sourde de fond de gorge. Son plaisir s'est élancé que ma main a accompagné. Auquel elle a entrelacé le mien. Plus rien d'autre ne comptait. Plus rien d'autre n'avait la moindre importance. Que d'entrer dans son plaisir à elle... Avec elle...

J'ai jailli au moment même où, à côté, Maeva proclamait éperdument son bonheur... Je n'ai pas eu le temps de finir : drap et couverture ont été brusquement arrachés, la lampe s'est braquée et figée sur mon bas-ventre. Il y a eu un hurlement de triomphe...

  • J'en étais sûre... Qu'est-ce que je t'avais dit ?... Je te l'avais interdit... Et tu le fais en espionnant ma fille en plus, espèce de grand dégoûtant !... Oh, mais ça va pas se passer comme ça... Lève-toi !... Mets-toi à genoux... Au bord du lit... Là, oui... Je reviens...

Elle est revenue en brandissant un martinet, Maeva, uniquement vêtue d'une petite culotte blanche, sur ses talons... - Mais c'est quoi tout ce raffut ?... Qu'est-ce qui se passe ?... - Il se passe que j'ai surpris l'autre petit vicieux à se branler en vous écoutant, l'oreille collée à la cloison... Mais il va voir ce qu'il va voir... Et elle a levé le martinet. Maeva lui a pris le bras...

  • Donne !... Donne, je m'en occupe... Personnellement...

Et c'est elle qui a cinglé. A la volée. A pleines fesses. Avec une énergie que mes cris semblaient encore décupler. Avec une intense et évidente jubilation. C'est sa mère qui l'a arrêtée...

  • Ca suffit maintenant... Ca suffit...

Elle m'a fait relever...

  • Et que ça te serve de leçon !...

Elles ont quitté la chambre. A côté l'étudiant en médecine a ri. Maeva aussi. De bon cœur. Un grand fou rire tous les deux. Et puis le silence. Il a susurré. Elle a murmuré. Et elle a recommencé à doucement gémir. Ma main est retournée en bas...

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